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La Maison du diable

Retour au fantastique

Avec La Maison du diable, Robert Wise revient au cinéma fantastique, genre par lequel il avait débuté, avec La Malediction des hommes-chats en 1944.

Un must du film de maison hantée

Le film de Robert Wise est un classique du cinéma fantastique. Il sort peu de temps après La Nuit de tous les mysteres de William Castle, et Les Innocents de Jack Clayton. Le film de maison hantée devient presque un genre à part entière. Depuis, Shining, Amityville, la maison du diable, Poltergeist ou Les Autres se sont inscrits dans cette lignée.

Ce classique du cinéma fantastique a donné lieu a deux remakes. Le premier, La Maison des damnés, a été réalisé en 1973 par John Hough, avec Pamela Franklin et Roddy Mac Dowall. Le second, intitulé Hantise, a été mis en scène par Jan de Bont, avec au générique Lili Taylor, Catherine Zeta-Jones et Liam Neeson.

10 Secrets de tournage

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On retient son souffle plus d'une fois dans cette maison archi hantée avec cette femme qui entend des voix et cette autre frôlant le saphisme ne serait-ce sa peur bleue. Une histoire à vous faire préférer cent fois les ascenseurs aux escaliers. La voix-off empoigne dès les premiers plans et passe le relais aux personnages tous suspects dans leur genre. Une bonne histoire, du suspense hitchockien en plus fantastique. C'est encore remarquable à tous points de vue en 2011 !

Quel chef d'oeuvre, le noir et blanc devrait être encore utilisé pour certains films, ça donne un effet glaçant !

La Maison du Diable fait partie de ces chefs-d’œuvre intemporels qui posent les bases d'un genre et deviennent une source d'inspiration intarissable chez les plus grands. Lire notre critique complète sur le site terreurvision.

L'actrice Julie Harris, interprète principale de ce chef d'oeuvre d'épouvante qu'est La Maison du Diable dans lequel elle joue Eleanor Vance, est décédée hier à l'age de 87 ans. Actrice assez rare au cinéma, elle eut par contre une carrière télé assez prolifique et eut de nombreuses récompenses et succès sur les scènes de théatre et à Broadway. Au cinéma, elle commença assez tard, à 27 ans, dans un role assez incroyable. une gamine très garçon manqué de 12 ans. C'était en 1952, dans The Member of the Wedding, film assez méconnu de Fred Zinnemann. Sa performance est tellement bluffante qu'elle obtint une nomination à l'Oscar de la meilleure actrice. Trois ans plus tard, elle donne la réplique à James Dean dans le célèbre A l'est d'Eden, puis elle joue aussi Sally Bowles, presque vingt ans avant Liza Minnelli dans le mythique Cabaret, dans le film I Am Camera, role qu'elle avait créé à la scène auparavant (c'était déjà le cas d'ailleurs pour The Member of the Wedding) Par la suite, elle se fait très rare sur grand écran, mais revient en 1962 avec un bon film de boxe, Requiem pour un champion avec Anthony Quinn, et bien sur un an plus tard La Maison du Diable, de Robert Wise. Mais sa carrière ciné resta hélas erratique, participant toutefois à des films de qualité avec meme de très grands réalisateurs (John Huston, Francis Ford Coppola). On la voit encore dans Gorilles dans la Brume, de Michael Apted, ou encore La part des ténèbres, de George A. Romero d'après Stephen King. Sa célébrité auprès du public, elle la doit surtout à son inteprétation dans la série TV Cote Ouest, de l'excentrique Lilimae Clements. Rest in peace, Julie Harris.

Ce film est le plus grand chef-d'oeuvre de l'épouvante et le meilleur film sur l'histoire d'une maison hantée.

On ne peut qu'être unanime sur les qualités indéniables de cette réalisation devenue un grand classique du film de maison hantée et s'il n'est pas le plus innovant, il est bel et bien l'un des plus réussi pour ce qui est des moyens stylistiques employés pour créer une atmosphère d'angoisse et de peur.
Le fait que ces moyens aient évolué, au fil du temps, n'empêche pas ce film d'être un essentiel du genre, surtout pour les adeptes qui ne manqueront pas de se resituer dans le contexte de l'époque pour l'apprécier pleinement.
À noter que Robert Wise fut le monteur du film d'Orson Welles "Citizen Kane" et l'auteur d'autres grands classiques tels "Le jour où la terre s'arrêta", "L'Odyssée du Hidenburg", "West Side Story ou " La Canonnière du Yang-Tsé".

Le film démarre bien grâce à son introduction efficace. Mais aussitôt passé "l’historique" de cette demeure, le rythme s’affaisse et la peur nous abandonne quasiment tout le long du film mis à part quelques rares exceptions (notamment lorsque des bruits se font entendre de derrière les murs). Ce qui pêche le plus est l’interprétation, mal jouée ou sur-jouée.
Malgré une réalisation plutôt maîtrisée, réussissant à rendre la "maison" inquiétante (pas mal de cadrages penchés par exemple), le scénario (sans surprise) et l’interprétation laissent à désirer.
2/5
Pour vraiment vibrer, il faut retourner 3 ans en amont et regarder en direction d’Hitchcock et de "Psychose".

Une mise en scène très travaillée et dynamique qui sert une atmosphère très bien rendue.
5/5

Bub. Haut les flingues,

Ce très bon film de Robert Wyse ne déçoit pas. La photographie, la mise en scène, l'interprétation, tout est réuni pour réussir un chef-d’œuvre de l'ensemble. La seule erreur est de ne pas avoir amener des évènements encore plus fantasmagoriques dans le déroulement de l'action. pour reste tout est parfait.

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